[Noël 2011] Princess Peach veut une robe

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Cyril fut heureux de ne pas avoir à utiliser de sa force pour emmener Jill vers l'infirmerie. Non pas que cela lui aurait posé de problème, mais, il se voyait mal avec Jill sous le bras dans les couloirs. Sur que cela allez faire jaser. Dans l'ascenseur les menant à l'infirmerie, elle répond à ses questions. Lui la regardant, réfléchit, tentant de comprendre.

Citation :: "Je n'en sais fichtrement rien.... Pourquoi cette question ?"

*Ok.. Soucis avec l'année, elle se croit à une autre époque... *

Citation :: "Où voulez vous que je sois allée ?! Dans la forêt enchantée bien sûr... Vos questions sont étranges."

Il ouvrit de grands yeux ronds, à la réponse.

*Oula.. ca va pas bien Jill, mais qu'est-ce que t'as fumée ? *

L'ascenseur s'ouvrit sur le couloir menant à l'infirmerie, Jill ne semblait pas savoir où ils étaient, ni la destination finale et t'en mieux.

Citation :: "Je n'ai aucune idée de l'endroit où nous sommes mais je sais que vous êtes le soldat en charge de ma protection !"

« Ta.. protection !! » Là s'en fut de trop pour Cyril, après tout ce qu'ils avaient vécut, enfin pas autant que cela, mais les douches, Paris... La prenant par les épaules et la secouant un peu durement, espérant sans doute que cela allait la faire revenir sur Terre.

« Jill ?? C'est moi Jill.. Ton.. » Ton quoi justement ?se demanda t'il

« C'est moi.. Cyril... Y a pas de forêt enchantée à la con ! La seule forêt du coin c'est la forêt de Sainte Faycelle, T'es Jill Cooper, Sergent au SGC, pilote de l'US Air Force.. Réveille Jill ! »

Dans les yeux du soldat de la tendresse mais de la peur aussi. Peur que Jill devienne frappa dingue et finisse dans un HP.

Salle de contrôle

Elle regarda une énième fois sa montre, ça y est elle était officiellement bel et bien en retard. Elle souffla, un peu désespérée mais ne se laissa pas abattre pour autant. Elle avait décidée de passer par l'infirmerie, elle passerait pas l'infirmerie. Et elle accourrait ensuite à la cafétéria, retrouver Laurent. Avec un peu de chance, elle ne serait pas si à la bourre que ça … Elle ne pouvait pas faire autrement de toute façon, maintenant qu'elle avait en tête de passer à l'infirmerie, elle ne pensait qu'à ça. En réalisant que la fumée rose aperçue plus tôt lui rappelait l'événement préoccupant d'un Noël précédent à la base, elle souhaitait apaiser ses craintes en passant à l'infirmerie et vérifier que tout était calme.

Et c'est justement sur le chemin qui l'y conduisait, qu'elle tomba sur deux soldats de la base qu'elle n'eut pas de mal à reconnaître. Jill et son Hulk. Quoiqu'il était difficile à croire que c'était réellement eux, vu la situation : Jill Cooper, sa supérieure qu'elle considérait même comme une amie, était en train de se faire secouer par l'autre costaud, et pas vraiment délicatement.
Il ne lui fallut pas attendre bien longtemps avant qu'elle intervienne. Suzanne, un petit gabarits d'1 mètre 60 et quelques, en robe et ballerines, avait décidé de s’immiscer entre les deux soldats et ce n'est pas leur taille, ni leurs grades qui l'effrayaient.

« Wow wow wow on se calme ici ! »

Et les wow wow wow étaient plus particulièrement tournés vers le grand Cyril. Les sourcils froncés, et le regard même un peu noir, elle n'adressait pas vraiment une grande sympathie à ce gaillard. Bien qu'elle se doutait bien que Jill avait de quoi se défendre physiquement, ce fut comme un réflexe pour la scientifique. Et puis, se mettre au milieu permettait souvent de calmer un peu les ardeurs de tous. Elle poussa donc Cyril dans l'autre sens, aussi violemment que possible pour l'en détacher de sa supérieure. Elle n'eut pas le temps de se demander si c'était vraiment elle qui avait eu la force de le repousser ou si c'était de lui même qu'il s'était reculé. Peu importe, maintenant qu'elle était entre ces deux là, elle demanda :

« Qu'est ce qui se passe là ? Quel est le problème ? »

Ses mots s'étaient adressés à Cyril, mais elle n'en oubliait pas pour autant Jill vers laquelle elle se retourna immédiatement pour lui demander si tout allait bien, d'une voix bien plus tendre, avant d'attendre patiemment les réponses à ses questions. Et elle ne partirait pas tant qu'elle ne les aurait pas … En ayant une pensée pour son soldat Campbell qu'elle imaginait malheureusement la maudire.

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Citation :: « C'est moi.. Cyril... Y a pas de forêt enchantée à la con ! La seule forêt du coin c'est la forêt de Sainte Faycelle, T'es Jill Cooper, Sergent au SGC, pilote de l'US Air Force.. Réveille Jill ! »

Cyril prononçait ces paroles en secouant la jeune femme qui le regardait assez apeurée. Il était impressionnant et le fait qu'il la secoue comme ça lui faisait un peu peur. Elle le regardait, effrayée. Elle n'avait aucune idée de ce qu'il était en train de lui raconter et elle ne savait pas quoi lui dire non plus. La jeune femme voulait lui répondre mais il la secouait assez vivement et elle n'arrivait pas à placer un seul mot.

Heureusement pour elle, une femme arriva et fit stopper le soldat. Une fois que Jill fut lâchée, elle recula et s'entoura de ses bras. A présent, elle regardait Cyril d'un air méfiant, elle avait l'air d'avoir peur de lui. Elle regarda tour à tour Cyril et la jeune femme qui venait d'arriver.

Citation :: « Qu'est ce qui se passe là ? Quel est le problème ? »

Jill mis une mèche de cheveux derrière ses oreilles et regarda ses pieds. D'une petit voix, elle répondit à Suzanne.

"Je.. je ne sais pas... j'ai juste répondu à ses questions et il s'est énervé..."

La jeune femme avait répondu avec une toute petite voix, ce qui n'était pas vraiment son style. Elle était à présent collée au mur derrière elle. La Jill que Suzanne et Cyril avaient devant eux, n'avait plus rien à voir avec la femme qu'ils connaissaient.

"Je ne sais même pas ce qu'est le S..G...C..."

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Cyril ne vit pas Suzanne, il sentit des bras se positionner entre lui et Jill et regarda vers la nouvelle venue. Même s'il secouait Jill comme un olivier, il se laissa faire, reculant d'un pas. Laissant Suzanne se mettre entre les deux. Ce qu'il avait redouté était en train de se passer, une tierce personne venait d'arriver, et il se voyait mal expliquer la douche et le pétage de Jill. En même temps cela lui permettait de reprendre ses esprits, car lui aussi était à deux doigts de péter le câble. Il s'en faisait pour Jill, et ne savait comment agir, ce qui était le plus rageant pour lui.

Citation :: « Qu'est ce qui se passe là ? Quel est le problème ? »

Il regarde la jeune femme en robe, se demandant si elle aussi était pas dans le coup. Vu que Jill voulait une robe, et comme par hasard une fille se pointe en robe de soirée !

*Nan..Là c'est toi qui délire !* Parano quand tu nous tiens, tu ne nous lâche plus.

Il ouvrit la bouche pour dire que tout allait bien, qu'il emmenait Jill à l'infirmerie, mais la réponse de Jill parlait d'elle même il se passe une main sur le visage, en soupirant.

Citation :: "Je ne sais même pas ce qu'est le S..G...C..."

"Put*in c'est pô vrai... JIll ?.. SERGENT !!!" Grommèle t'il. Se tournant vers Suzanne, il dit toujours d'un ton dur et peu rassurant.

"Ok c'est bon je gère.. ! Cyril Demaison, auxiliaire médical !" D'un ton assez dur, secoué par le fait que Jill était plus que perturbée, et qu'elle était aux antipodes de ce qu'il connaissait d'elle.

"Je l'emmène à l'infirmerie... Elle.. A un souci de mémoire." repensant à la forêt enchanté, et aux fraises, il se dit que c'était pas seulement la mémoire.

Les premiers mots de Jill confirmèrent ce à quoi pensait Suzanne, le problème venait de Cyril et elle n'aimait pas ça. La voix apeurée de sa supérieure avait même de quoi inquiéter. Seulement, les mots qui suivirent provoquèrent l'effet inverse chez la scientifique. Elle ouvrit grand les yeux vers Jill qui venait de lui dire clairement que le SGC lui était inconnu, puis se retourna brusquement vers Cyril qui venait de péter littéralement un câble.

Il prit toutefois le temps de se présenter, avant d'annoncer qu'il l'emmenait à l'infirmerie pour ce qu'il appela, un problème de mémoire. Suzanne lui rétorqua aussitôt :

« Docteur Suzanne Rigel, scientifique de SG4. Je vous accompagne. »

Les mots étaient sortis naturellement. Devant la colère de ce costaud, elle ne s'imaginait pas laisser Jill seule avec lui, vu en plus de l'état étrange de cette dernière. Si elle avait cru que sa supérieure savait se défendre, là elle en était bien moins sûre, ce qui ne l'encourageait pas à la laisser seule. Elle repoussait de plus belle son rendez vous avec Laurent, ce qui ne l'enchantait pas du tout.

« Mais attendez deux secondes, laissez la respirer un peu. »

Se retournant vers sa supérieure sans attendre une quelconque réaction de Cyril, elle ajouta aussitôt tout en prenant une voix calme afin de rassurer la jeune femme dont son état apeuré l'inquiétait :

« Jill, … Comment tu te sens ? À part cet homme qui s'est énervé … » jetant un regard furtif à Cyril avant de reprendre vers Jill « … disons un peu vite sans raisons, à part lui donc tout va bien ? »

Elle voulait la version de Jill, savoir comment elle se sentait, et surtout savoir si elle était consciente de son état.

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Ce fut maintenant la femme qui regarda Jill de façon étrange. Mais qu'avaient ils donc à tous la regarder de la sorte ? N'avaient ils jamais vu de princesse de leur vie ? Jill les observait avec attention. D'après ce qu'elle pouvait voir, ce Cyril était vraiment énervé et la femme ne comprenait pas pourquoi il l'avait secouée comme ça. A vrai dire, Jill non plus ne comprenait pas pourquoi il avait agi de la sorte. Toujours collée à son mur, Jill ne disait mots.

Elle leva les yeux seulement lorsque la femme s'adressa à elle.

Citation :: « Jill, … Comment tu te sens ? À part cet homme qui s'est énervé … » « … disons un peu vite sans raisons, à part lui donc tout va bien ? »

Jill haussa un sourcil lorsque Suzanne l'appela par son prénom.

"De quel droit m'appelez vous par mon prénom ? Mais qui êtes vous ? Savez où puis-je trouver un tailleur ?"

Jill s'était à présent décollée du mur. Ils étaient deux et aucun n'était capable de lui dire où est ce qu'elle pouvait trouver une robe. Si ça continuait comme ça, elle allait demander aux souris de venir lui donner une coup de main ( https://www.youtube.com/watch?v=cClEmwyeugE&feature=related ).

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Citation :: « Docteur Suzanne Rigel, scientifique de SG4. Je vous accompagne. »

Cyril tiqua. Une toubib, quoi que docteur c'était un titre qu'on refilait à n'importe qui.

Citation :: « Mais attendez deux secondes, laissez la respirer un peu. »

"Que ??" Il se recule encore un peu, en regardant Jill qui ne semblait pas en manque d'air. Réprimant sa colère qui commençait à monter.

Citation :: « Jill, … Comment tu te sens ? À part cet homme qui s'est énervé … »

Outre les paroles c'est surtout le regard de Suzanne qui le fit péter les plombs, un regard lourd de reproche comme si tout ce qui arrivait était de sa faute. Alors qu'il n'avait rien fait pour que Jill en vienne à parler bizarrement et se croire dans la forêt enchantée à cueillir des fraises..

"Oh ça va Hein..! Docteur en quoi d'abord..? Puis je vous connais pas moi.. Qui me dit que vous êtes ce que vous prétendez.. ? Attifé comme vous l'êtes.. Pas de badge ni bande patro.. Vous pouvez me raconter n'importe quoi ! Je me charge d'elle c'est OK.. ! Z'avez surement quelqu'un qui vous attends quelque part !" S'approchant de Jill, pour finir le boulot et l'emmener à l'infirmerie. Il la regarde répondre à Suzanne.

Citation :: De quel droit m'appelez vous par mon prénom ? Mais qui êtes vous ? Savez où puis-je trouver un tailleur ?"

"Oui de quel droit ?? je suis celui-qui est chargé de sa protection.. Je l'emmène.. séance tenante voir le tailleur de la forêt enchanté.. Alors ouste.. ! Faites place... Ou je vous.. Euh.. Escour?.. Estour.. fais dégager !"

Tendant la main vers Jill il dit innocemment et doucement :

"Allez viens Princesse... On va voir le tailleur"

Suzanne se pensait en plein délire. Entre Jill qui semblait réellement dans un autre monde et Cyril qui était sur les nerfs et la remettait en place au moindre faux pas … Elle ne savait plus qui croire. L'avoir vu secouer sa supérieure comme un prunier, et le voir maintenant réagir de la sorte, ne la poussait vraiment pas à lui faire confiance, et donc à le laisser s'en aller avec Jill.
Elle était restée silencieuse pendant que l'affreux jojo l'engueulait ouvertement. Inutile de hausser le ton ou d'oser l'interrompre, il faisait presque deux fois sa taille et était en colère … Elle n'était pas non plus suicidaire.

Cela dit, avant que Suzanne puisse lui répondre, Jill l'interrompit en annonçant qu'elle n'avait aucun droit de l'appeler par son prénom et … et qu'elle cherchait un tailleur ? Suzanne n'eut même pas le temps de se demander ce qu'elle avait bien pu avoir fumé, Cyril profita de cette occasion pour prendre Jill sous son aile, en parlant de forêt enchanté …

Elle se mit devant Cyril, le contraignant à lui faire face le temps qu'elle s'explique :

« Très bien, très bien. On oublie le doctorat en immunologie et le grade de sergent-chef, puisque je n'ai aucun moyen de vous le prouver là tout de suite, et que vous avez l'air buter à croire que je suis une touriste perdue six pieds sous terre qui visite une base militaire un soir de 24 décembre.En attendant, excusez moi mais vous parlez de forêt enchantée, de princesse et de tailleur … Donc entre vous et moi, je ne suis pas sûre d'être celle qui raconte n'importe quoi. »

Le ton employé n'avait rien de méchant, elle ne s'était pas mise en colère mais ne s'était pas laissé impressionnée non plus. Elle se foutait pas mal de qui il était à vrai dire, ce qu'elle constatait surtout c'est que son hypothèse était fondée à présent. La fumée inhalée plus tôt semblait avoir laissé des traces … Autant sur Jill c'était visible, mais sur Cyril elle avait des doutes. Pourquoi parlait-il de forêt enchanté ?

« Étiez vous avec elle quand l'alarme a retenti ? Il y a eu une fumée … En avez vous inhalée ? Avez vous vu le sergent Cooper en inhaler ? »

Se tournant à présent vers Jill, elle ajouta :

« Pourquoi tu … Pourquoi cherchez vous un tailleur ? »

Non, Suzanne n'était pas prête à les laisser seuls.

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Citation :: "Oui de quel droit ?? je suis celui-qui est chargé de sa protection.. Je l'emmène.. séance tenante voir le tailleur de la forêt enchanté.. Alors ouste.. ! Faites place... Ou je vous.. Euh.. Escour?.. Estour.. fais dégager !"

Jill n'eut plus peur de Cyril. Elle sourit lorsqu'elle l'entendit prononcer ces mots. Ils se connaissaient depuis qu'il était en âge de la protéger et ils s'entendaient bien sauf quand ils n'étaient pas d'accord et que tout les deux voulaient avoir raison. Même si il lui avait fait peur, la jeune femme éprouvait une certaine admiration pour lui. Comme lui, elle aurait aimé combattre le mal, mais malheureusement, ce n'était pas possible pour une fille de son rang. Elle cachait donc ce secret en se faisant passer pour une personne capricieuse. Mais elle s'était promis que si un jour, elle avait l'occasion de faire ses preuves, elle le ferait sans hésitation même si elle devait s'attirer les foudres de son père.

Lorsqu'il lui tendit la main, elle la saisit sans se faire prier.

Citation :: "Allez viens Princesse... On va voir le tailleur"

Jill acquiesça d'un signe de tête et s'approcha de lui. Il allait enfin l'aider à trouver une tenue mieux que celle qu'elle portait là et qui lui donnait follement envie de se gratter. La femme posa des questions au soldat avant de s'adresser de nouveau à Jill.

Citation :: « Pourquoi tu … Pourquoi cherchez vous un tailleur ? »

Jill tira sur le haut et hocha les sourcils avant de répondre à Suzanne.

"Regardez moi ça, on dirait des vêtements de servante... Il me faut un tailleur pour avoir une robe digne de mon rang..."

Jill passa une mèche de cheveux derrière son oreille avant de se tourner vers Cyril.

"Peut être en connait elle un ?!"

Certes, il y avait celui de la forêt mais c'était un rustre et Jill avait horreur d'aller dans son atelier.

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Cyril fut satisfait de voir que Jill répondait favorablement à son invitation à le suivre, mais il fallait que "miss robe de soirée" s'en mêle retardant encore l'entrée dans l'infirmerie. Il l'écouta sans vraiment y prêter attention, regardant plutôt Jill. Essayant de garder son calme et de ne pas la virer du chemin. Au pire il dirait qu'il avait eut un coup de folie lui aussi.

*Ca passerait, suis sur, qu'il y a eu pire^^*

Citation :: "Peut être en connait elle un ?!"

Il se tourne vers Jill et dit tout sourire :

"Ne vous inquiétez pas je vais me renseigner." Ne lâchant pas la main de Jill il se place de façon à ce qu'elle ne le voit pas et regarde Suzanne l'air sérieux du gars qui se dit qu'il a autre-chose à faire que papoter et murmure :

"Nous étions ensemble, et elle a subitement changé. Non, je n'ai pas vu de fumée rose, et nous n'avons pas entendu d'alarme."

Puis plus fort afin que Jill entende :

"Nous nous rendions chez un tailleur, celui qui se trouve là bas.. Vous savez bien, l'échoppe à la croix rouge. Mais peut-être en connaissez vous un autre ?" Il fit un clin d'oeil à Suzanne espérant qu'elle comprenne son stratagème, qu'il n'était pas taré, mais qu'il jouait bien le jeu de Jill pour l'amener là où elle serait plus à même d'être soignée. En tant qu'immunologue elle devait comprendre qu'il fallait isoler Jill si jamais lui aussi pétait le câble et se prenne pour... Il n'osa y penser. Se tournant vers Jill il lui sourit, l'air tout va bien, no problémo.

D'un coup il se sentit fatigué, la séance de sport avec Jill, puis la douche et maintenant ça... S'il s'était écouté il serait retourné au pieu... Se demandant si Princesse Jill aurait acceptée l'invitation. après tout y a rien de mal à s'encanailler, même une princesse vivant dans la forêt enchantée et mangeant des fraises.

Maître du jeu Messages : 51 Date d'inscription : 29/11/2011

Alors que Jill était en compagnie de deux jeunes gens qui lui semblaient assez étrange, elle vit apparaitre un compagnon qui ne lui était pas inconnu, et pour cause, il s'agissait du petit oiseau rose qui l'accompagnait toujours dans la forêt enchanté, un ami fidèle et qui fut toujours d'excellent conseils. Celui ci se posait sur l'épaule de la jeune femme sous le regard médusé des deux jeunes gens celui ci se mit à chantonner à l'oreille de la petite princesse. Si pour Cyril et Suzanne il s'agissait d'un simple chant d'oiseau, tout était clair pour Jill, peut être même plus que tout ce que disait les membres du SGC, parce que lui au moins lui semblait sensé.

*Chant d'oiseau*

Suzanne et Cyril auraient pu jurer que l'oiseau les observait d'un oeil suspicieux, d'ailleurs d'où venait ce volatile?

Le visage complètement abasourdi de Suzane, suite aux déclarations de Jill, en disait long. Pourtant, sous le regard sérieux de sa supérieure, elle fit mine de comprendre et lui sourit aussi naturellement que possible. Cette sérénité cependant disparut très vite quand Cyril prit Suzanne à part pour répondre à sa question précédente. Bien qu'affolée par le comportement plus que suspect de Jill, la scientifique fit son possible pour écouter le militaire jusqu'au bout.
Rien n'était très précis dans ce qu'il disait, mais le résultat était là, Jill avait totalement changé. Là, tout de suite, Suzanne ne savait pas quoi en penser scientifiquement parlant et c'était assez frustrant. Cyril la coupa dans ses réflexions en lui faisant part de leur destination, d'un naturel assez surprenant. Un clin d’œil cependant suffit à taire les doutes que la jeune femme se faisait à son sujet, auquel elle répondit d'un simple acquiescement de la tête pour lui faire comprendre qu'elle avait saisi le stratagème.

Elle allait répondre dans leur sens, quand soudain un élément vint troubler la fête qui était déjà bien amorcée avec l'état préoccupant de Jill. Un oiseau … un oiseau rose qui vint se poser sur l'épaule de la militaire. Suzanne sursauta, regardant tour à tour Jill puis l'animal. Pour finir en jetant un regard perplexe à Cyril. Elle n'eut même pas le temps de dire tout haut ce qu'elle se demandait tout bas, à savoir d'où venait cet oiseau ? Non, elle n'en eut pas le temps puisque le petit animal commença son petit chant, s'adressant à priori à Jill … Suzanne ne savait dire si c'était le regard suspicieux de l'oiseau ou le fait que la militaire semblait écouter avec passion ce que l'animal roucoulait, l'inquiétait le plus.

« Je … Je vais chercher le tailleur. »

Suzanne se surprit elle même d'avoir dit ça. Les mots étaient venus tout seul, sans bien réfléchir.

« L'échoppe de la Croix Rouge est idéale pour une robe … digne de votre rang ! Seulement il me semble que le tailleur s'est absenté. Je vais le chercher de ce pas et je vous retrouve à l'échoppe ? … Les … elfes s'occuperont de vous en attendant ! »

Elle se serait fait internée elle même dans un autre contexte, pour avoir dit des bêtises pareilles aussi sérieusement. Seulement, Laurent qui poireautait tout seul à la cafétéria lui trottait dans la tête, et à vrai dire vu l'état mental de Jill, elle se demandait si il se pouvait que d'autres soient dans le même état. Raison de plus pour aller vérifier que Laurent allait bien.

Si ces précédents mots s'étaient adressés à Jill plus particulièrement, elle profita du fait que Jill soit occupée par son oiseau quelques secondes pour s'adresser cette fois ci à Cyril :

« Je reviens de suite, et je vous retrouve … à l'échoppe. J'ai besoin de vérifier si tout va bien au niveau 3. Prenez soin d'elle surtout. »

Bien que les rapports avec Cyril avaient très mal commencé, il n'y avait là aucun reproche, plutôt de l'inquiétude pour son amie. Elle jeta un dernier regards suspect à l'oiseau avant de prendre la direction de la cafétéria.

Cafet'

[ Je vous rejoins après Smile

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Jill n'avait strictement aucune idée de ce que pouvaient manigancer Cyril et Suzanne. Elle n'était pas folle, elle voyait bien qu'ils essayaient de se faire passer des messages mais elle préfèrait ne rien dire pour continuer à leur faire croire qu'elle était ailleurs.

Lorsqu'elle fit la remarque sur le fait que Suzanne connaîtrait peut être un tailleur, Cyril lui adressa un sourire, lui indiquant qu'il allait se renseigner. Jill se mit alors à jouer avec une de ses mèches de cheveux, ne faisant strictement plus attention à ce que ce racontait Cyril et Suzanne. Alors qu'elle commençait à désespérer, un chant d'oiseau la fit sortir de ses rêveries.

Enfin elle arrivait... Depuis le temps, Jill pensait que Jewel allait se manifester un peu plus tôt avec tout ce qui lui arrivait. Le rossignol rose avait toujours été là pour la jeune femme. Elle savait la guidait et lui faire prendre de bonnes décisions. Jill avait énormément confiance en elle.

Ne remarquant pas le regard incrédule de Suzanne et Cyril, Jill accueillit Jewel, qui vint se poser sur son épaule avec un grand sourire. La jeune femme tapota dans ses mains et présenta son oreille au rossignol qui lui dit quelque chose.

*Jill que faites vous en compagnie de pareil individu, et pourquoi portez vous ses guenilles? Tout ceci m'inquiète, une dame de votre rang devrait être en compagnie d'un prince, d'ailleurs qui est ce charmant jeune homme? Quoi qu'il en soit il n'est pas convenable pour une princesse de rester seule avec un homme, à moins que celui ci se trouve être son promis, est ce le cas?*

Il n'y avait que Jill qui pouvait comprendre ce que Jewel lui racontait. Pour les autres, ils n'entendaient qu'un basique chant d'oiseau. Tout en parlant à Jill, le rossignol jetait des regards presque noir aux deux personnes présentes.

Jill se mit alors à lui répondre mais pour Cyril et Suzanne, elle parlait toute seule.

"Oh mais sais tu où je suis Jewel ?! Je ne connais pas cet endroit, il m'est complètement étranger... Ne t'en fais pas, je vais bientôt trouver une tenue pour moi..."

Lorsque Jewel lui demanda ce qu'elle faisait avec un homme comme Cyril qui n'était pas un prince charmant, Jill eut un petit sourire amusé. Sans quitter Cyril des yeux, elle lui répondit...

"Il ne faut pas t'inquiéter... Il ne me fera jamais de mal.. je le sais."

Jill caressa le petit oiseau et lorsque Suzanne leur annonça qu'elle devait se rendre à un autre endroit, celle-ci la salua d'un signe de la tête. La jeune femme se remit alors à chanter.

https://www.youtube.com/watch?v=tDl4RR_B52o

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Cyril écouta Suzanne jusqu'au moment ou un truc rose passa devants es yeux, esquivant, il suit des yeux l'oiseau voleter et se poser sur l'épaule de Jill. Lâchant la main de celle-ci, il se masse les yeux afin de rétablir sa vision. Il n'écouta plus du tut Suzanne qui lui parlait d'aller chercher le tailleur ou le toubib, Cyril ne savait plus pour se concentrer sur la scène qu'il avait devant les yeux.

Citation :: « Je reviens de suite, et je vous retrouve … à l'échoppe. J'ai besoin de vérifier si tout va bien au niveau 3. Prenez soin d'elle surtout. »

Il vit l'oiseau siffloter dans l'oreille de Jill, et Jill lui répondre. Sans vraiment y croire, il vivait un cauchemard un truc rose voletant lui piquait sa copine ! Il fit ok de la main à Suzanne qui partait, absorbé par la scène. Il resta donc seul avec Jill et Monsieur Oiseau rose. Jill se mit à chanter, un truc qui n'avait rien à voir avec ce qu'elle écoutait d'habitude.

Approchant son index, pour toucher l'oiseau, afin de vérifier qu'il était bien réel et non le fruit de son imagination. Touchant l'oiseau, il sent le plumage et retire son doigt comme s'il venait de toucher du feu.

« Jill C'est.. c'est.. Vivant ! Il vient d'où ?? Ne.. me dis pas que tu lui parles et qu'il te réponds ?? »

Cyril était sur le cul. Incapable de bouger, ou de dire quoi que ce soit il regarde le rossignol, rose, ne sachant plus quoi faire.

« Mais comment il a eut cette couleur ? Tu la teins ?? Mais enfin.. Soyons sérieux... Tu ne m'en as jamais parlé.. Je.. » Il retends le doigt vers le rossignol qui cette fois là, le pince avec son bec.

« Aïïïe ! » En portant le doigt à sa bouche, là plus de doute, le truc rose était vivant.

« Jill faut m'expliquer.. je peux pas t'aider si je comprends pas.. Et là, je frise la crise de nerfs ! »

Invité

Jill observait Cyril qui avait l'air totalement perdu face à l'arrivée de Jewel. Il n'avait pas l'air de comprendre ce qu'il se passait et ça amusait la jeune femme. Pour lui, un rossignol rose n'avait rien à faire ici.

Comme pour se prouver qu'il ne rêvait pas, Cyril s'approcha de Jewel et et tendit le doigt pour le toucher. Le petit rossignol, surveillé par Jill ne fit rien et se laissa faire. Avec un sourire aux lèvres, elle regarda Cyril retirer rapidement son doigt comme si il venait de se faire piquer.

Citation :: « Jill C'est.. c'est.. Vivant ! Il vient d'où ?? Ne.. me dis pas que tu lui parles et qu'il te réponds ?? »

Doucement, Jill prit Jewel et la plaça dans le creux de ses mains. Elle tendit les bras vers Cyril pour lui montrer le petit rossignol rose qui regardait toujours le soldat d'un air méfiant, malgrè ce que la jeune femme lui avait dit à son sujet.

"Je vous présente Jewel... Je la connais depuis toujours, elle a grandit avec moi et me conseille dans tout mes choix... Je suis la seule à pouvoir la comprendre et à pouvoir lui parler..."

Jill parlait d'une toute petite voix et caressait doucement l'oiseau.

Citation :: « Mais comment il a eut cette couleur ? Tu la teins ?? Mais enfin.. Soyons sérieux... Tu ne m'en as jamais parlé.. Je.. »

Cette fois-ci, Jewel ne se laissa pas faire et pinça les doigts de Cyril. La jeune femme lui donna un petit coup sur le bec.

"Arrête ça Jewel ! Il ne nous fera pas de mal !"

Jill leva les yeux vers Cyril et répondit à sa question.

"Elle vient de la forêt enchantée..."

Cyril était à deux doigts de péter un câble et Jill le voyait bien. Il voulait des explications mais elle ne savait pas par où commencer.

"Posez moi des questions et j'y répondrais.."

Ce fut tout ce qu'elle trouva à dire.

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Citation :: "Je vous présente Jewel... Je la connais depuis toujours, elle a grandit avec moi et me conseille dans tout mes choix... Je suis la seule à pouvoir la comprendre et à pouvoir lui parler..."

*Je la... Bah foui c'est une fille piaf.. J'aurais du m'en douter au rose bonbon et au caractère..*

Cyril regarde le piaf dans les mains de Jill, n'y croyant toujours pas alors que son doigt le lance encore. Pensant à une hallucination collective, il tente de se persuader que ce qu'il voit ou ressent est faux, et simplement le fruit de son imagination. Il apprécia néanmoins le coup de doigt que Jill mit au piaf. Il lui aurait bien mit une baffe pour se venger du coup de bec, mais cela n'aurait surement pas plu à Jill.

L'écoutant il regarde le piaf puis Jill, bien évidemment le piaf venait lui aussi de la forêt enchantée. Et dans quelques minutes Jill lui dira qu'elle habite dans une maison en pain d'épice et que sa voisine de palier est Blanche neige et ses 7 nains.

"Posez moi des questions et j'y répondrais.."

« OK... Euh.. » Se grattant le menton.

« Où se trouve la forêt enchantée ? »

« Co.. Comment le piaf... Pardon Jewel.. » En faisant une révérence « ...Est entrée ? »

Là cela en devenait ridicule. Mais il poursuivit ses questions, pour en finir par une plus personnelle.

« Que.. dois-je faire ?? Pour te retrouver.. ? Enfin retrouver le sergent Jill Cooper ? »

Suzanne n'avait pas lâché le bras de Laurent, et ne s'en était pas réellement aperçue d'ailleurs. Elle était occupée à réfléchir à ce qu'elle aurait pu oublier de lui dire et qu'il fallait qu'il sache. Elle les conduisait tout droit vers l'infirmerie, pensant qu'ils y seraient. Mais en tournant dans l'un des couloirs y menant, elle aperçut au bout de celui ci les deux compères qu'elle devait rejoindre. Ne s'attendant pas à les retrouver si tôt, elle agit sans réfléchir. Elle fit deux pas en arrière, entraînant toujours Laurent avec elle pour le plaquer contre le premier mur dans les environs, et s'approcher de lui pour lui murmurer les dernières recommandations :

« Une dernière chose : Jill croit que je suis allée chercher un tailleur. Je ne sais pas pourquoi, elle s'est mis en tête qu'il lui fallait une robe … une robe « digne de son rang », je cite ! Donc … Tu es le tailleur en question ... »

Elle se tût un instant, réalisant ce qu'elle était en train de lui raconter et surtout ce qu'elle était en train de lui imposer.

« Excuse moi, je m'emporte … Son état m'inquiète beaucoup, je ne comprends pas ce qui se passe, et je n'aime pas ne pas comprendre … Et ce Demaison là, … »

Elle s'arrêta là, mettant de côté ses à priori sur ce soldat, réalisant surtout qu'elle était à cran et qu'à partir de là, il aurait pu dire n'importe quoi ce Demaison, elle ne gardait qu'en tête sa brutalité envers son leader qui, dans son état actuel avait besoin de tout sauf ça.
Elle finit par s'éloigner de Laurent, elle donna un coup d’œil au couloir voisin pour vérifier que les deux étaient toujours là, puis prit les devants et s'avança vers eux.

« Devinez qui j'ai retrouvé … Le tailleur ! »

Elle se fit un pas de côté et montra d'un geste de la main, le tant attendu tailleur qui n'était autre que Laurent.

« Monsieur … Ciseaux D'Argent ! Il est formidable vous verrez ! Il fait de ces robes … Ah, une merveille. »

Un large sourire aux lèvres, elle faisait son possible pour être convaincante. Elle tourna la tête vers Cyril ensuite, et après un regard d'incompréhension, elle ajouta :

« Vous n'allez plus … à l'échoppe de la Croix Rouge ? »

La porte à double battant de l'infirmerie s'ouvrit sur un diable (le charriot, je vous rassure, quoique...) sur lequel étaient empilés trois personnes en blouse blanche, deux hommes et une femme. Derrière, poussant le charriot, il y avait... une astronaute, une petite astronaute pour être exact. En guise de tenue d'astronaute, il s'agissait d'une combinaison NBC que l'on employait dans les divers laboratoires de la base et au travers de la grande visière plastique la plupart des anciens reconnurent la pétulante et... singulière Baronne de l'Argentière. Au premier abord elle n'avait pas fait attention aux quatre personnes, ni à l'oiseau. Elle vérifiait que ses colis ne tombaient pas. Dans son dos il y avait une lance jaffa qu'elle s'était attaché avec une sangle faite avec des ceintures de blouse de laboratoire. On pouvait voir sur l'embout de la lance un bel autocollant jaune avec marqué dessus "FACTICE". Le bâton la gêna pour rentrer se coinçant dans les deux battants ce qui la fit jurer en nippon et donner un coup sec d'épaule qui manqua de la faire s'affaler lamentablement. Se reprenant et faisant comme si de rien était elle lança à la cantonade .

"Hoi! Y a t il du perso..."

Ah! Elle avait remarqué le petit groupe et son regard s'étrécissant, elle se tut, immobile. Pour autant on entendit le bruit caractéristique que faisait un zat'nik'tel quand on le déverrouillait. L'arme n'était pas visible, mais vu la distance, elle était trop loin et trop près en fait. Il pourrait y avoir du vilain.
Elle s'attarda sur chacun des membres présents dans la base puis finalement décida de parler.

"Identités et grades. Et le premier ou la première qui fait de l'humour, je le ou la fais swinguer à coup de zat et j'en fais une paupiette comme avec ces trois là. Si vous êtes normaux ça se passera bien."

Effectivement, les trois étaient ligotés avec des câbles d'alimentation pour matériel informatique ou des rallonges électriques. L'un avait même les mains prises dans une sorte de mousse de polyuréthane. Les deux hommes montraient de nombreux stigmates de violences corporelles, surtout des bleus et des ecchymoses. La femme avait juste un bel œuf de pigeon en plein milieu du front. Tous respiraient à première vue, mais on les avait "proprement" assommé.
il y avait des rumeurs qui couraient sur elle, comme quoi elle serait morte et aurait été ressuscitée, mais que cela l'avait pas mal perturbé... Peut être que la physicienne de renommée mondiale avait finalement fondu un fusible pour de bon?

Suzanne s’arrêta brusquement avant d’être dans l’infirmerie, prenant le militaire par surprise qui faillit lui marcher dessus avant de se voir plaquer contre une paroi et de la voir s’approcher comme si elle avait une envie sauvage de l’embrasser mais non, c’était pour discrètement lui donner un détail d’importance puisqu’il devait se faire passer pour un tailleur !

La réaction fut directe, le visage de Laurent disait que ce n’était pas une bonne idée et ses paroles le confirmaient :

« Tailleur ! Moi… Une robe… Mais je n’y connais rien en couture ou en mode ! »

En fait peu importait ce rôle, comme le dit la scientifique, l’état de Jill était plus inquiétant et que ce Demaison qui était avec elle ne semblait pas être très apprécié par Suzanne rien qu’à entendre sa façon de parler de lui.

Dès que Suzanne décida d’y aller, il fit de même en la suivant de près si jamais il devait la protéger d’un danger, la laissant parler pour faire les présentations pendant qu’il analysait la situation pour décider ou pas de jouer le jeu.

Voyant que Jill n’avait pas l’air net, il se décida à y aller en douceur pour ne pas la brusquer et la bloquer, malgré que les traits du visage de Laurent affichaient la stupéfaction devant toute la mise en scène de sa belle :

« Bonjour Mademoiselle, on m’a dit que vous aviez besoin de moi alors me voila »

Cela aurait pu être simple si la terreur nippone n’était pas arrivée pour compliquer la situation et griller la couverture du militaire qui allait devoir annoncer son grade, après quoi il serait difficile à Jill de croire qu’un chevalier soit aussi tailleur. Remarque, la méthode de Mathilde n’était pas mauvaise et surtout plus rapide que la sienne, le Para avait eu dans l’idée de confectionner, ou plutôt de chercher dans l’infirmerie un vêtement à très longues manches et à grandes sangles dans le dos afin de le faire enfiler au Sergent comme étant un moyen moderne de prendre les mesures.

Invité

Jill regardait Cyril avec ses grands yeux. Elle était prête à répondre à toutes ses questions et vu la tête qu'il faisait, il devait en avoir pas mal qui circulaient dans son esprit. La jeune femme posa Jewel sur son épaule et fixa Cyril pour qu'il comprenne qu'il pouvait y aller.

Citation :: « Où se trouve la forêt enchantée ? »

La jeune femme s'installa au sol, en tailleur et demanda à Cyril de faire de même. Après tout, si il avait beaucoup de questions, le temps allait être long. Elle le regarda avec un grand sourire et répondit à sa première question.

"La forêt enchantée est toute autour de nous, en dehors de ces murs... C'est une forêt magique qui aide à la défense du château de mon père... Vous devriez le savoir normalement..."

Jill avait rajouté ces derniers mots en haussant les sourcils. Après tout, il était censé connaître ce genre de choses étant donné qu'il était chargé de sa protection. Toujours assise au sol, Jill attendit la suite de ses questions.

Citation :: « Co.. Comment le piaf... Pardon Jewel..Est entrée ? »

Du coin de l'oeil, Jill vit Jewell regarder Cyril avec un regard noir. La jeune femme lui fit signe de ne pas s'énerver.

"Jewel est un rossignol magique... Le jour de ma naissance, elle m'a été attribué pour me guider dans tout mes choix... C'est un peu mon ange gardien en fait..."

Jill remonta ses jambes sous son menton, de façon à pouvoir poser sa tête dessus. Elle souffla pour repousser une mèche qui venait de lui tomber devant les yeux.

Citation :: « Que.. dois-je faire ?? Pour te retrouver.. ? Enfin retrouver le sergent Jill Cooper ? »

Lorsqu'elle entendit ces paroles, Jill se redressa et plissa les yeux. Elle prit quelques secondes avant de lui répondre...

"Cette jeune femme a l'air importante pour vous... Elle doit être une très bonne personne si elle compte autant pour vous..."

La jeune femme enviait cette Jill Cooper... A l'évidence, elle comptait plus pour Cyril qu'elle... Elle se mit alors à chanter comme ça, sans raisons apparentes. C'est à ce moment là que Suzanne et Laurent arrivèrent.

https://www.youtube.com/watch?v=cJMdqrw0o4g&feature=related

Lorsque Jill entendit Suzanne dire qu'il s'agissait du tailleur, elle se mit aussitôt debout et tapa dans ses mains, toute heureuse de voir enfin la personne qu'elle attendait depuis le début.

Citation :: « Bonjour Mademoiselle, on m’a dit que vous aviez besoin de moi alors me voila »

Jill continuait de taper dans ses mains et à présent, elle tourner autour de Laurent, toute souriante et toute joyeuse.

"Je vais enfin avoir ma robe !!! Tu entend ça Jewel ?!"

Une autre personne fit son apparition. Jill arqua un sourcil en voyant ce qu'il y avait sur le chariot que Mathilde poussait.

Citation :: "Identités et grades. Et le premier ou la première qui fait de l'humour, je le ou la fais swinguer à coup de zat et j'en fais une paupiette comme avec ces trois là. Si vous êtes normaux ça se passera bien."

Jill regarda tour à tour Cyril, Suzanne et Laurent, ne sachant que répondre. Lentement, elle s'approcha de Cyril et lui murmura à l'oreille.

"Je crois qu'elle travaille pour la sorcière..."

La jeune femme ne quittait pas Mathilde des yeux, surveillant ses moindres faits et gestes.

Maître du jeu Messages : 51 Date d'inscription : 29/11/2011

Le petit volatile au nom de Jewel observait la scène, visiblement il n'était pas ravi de voir les personnes qui entouraient la jolie Jill, un peu comme si elle jouait les mères poules. Il faut dire que les noms donné étaient assez étrange, la magie semblait avoir quitté le coeur de ces personnes, c'était d'une tristesse, d'ailleurs il avait décidé d'en faire part à Jill. S'envolant pour faire le tour des personnes présentes dans la pièce, visiblement, il observait chaque personne pour se faire une petite idée sur eux, puis finalement il revint sur l'épaule de Jill, visiblement satisfait de ce qu'il venait de voir. A vrai dire la personne qui semblait le plus satisfait de voir c'était Mathilde, plutôt étrange étant donné que la petite terreur venait de faire une irruption assez étonnante, elle semblait sur le pied de guerre. Il ne semblait tenir compte d'aucune de ses mises en garde, non il y avait plus important, il se remit à chanter pour son ami.

* Chant d'oiseaux *

Aussitôt elle s'envolait, cependant que très rapidement, apportant une rose, l'offrant, d'abord à Laurent, puis une autre à Cyril, et une autre, mais cette fois il la gardait dans le bec, semblant attendre quelqu'un. Assez perturbant comme action, particulièrement parce que l'oiseau semblait attendre quelque chose d'eux, et que le côté perturbant de la situation semblait prendre le dessus sur la réalité. Mathilde fut la première personne à remarquer une fumée rose qui commençait à ramper sur le sol, quelque chose d'étrange se préparait.

Invité

( Salut all! Je me permets de m'incruster sur proposition du Chappa'ai Wink

)

Suivre le mystérieux oiseau bleu ne fut pas des plus aisés, ce dernier prenant visiblement un malin plaisir à faire visiter la base à James. A chaque fois que l'archéologue s'approchait de lui le piaf s'envolait et se posait une dizaine de mètres plus loin, répétant ce manège inlassablement. Si James avait eu un filet à papillon ou un truc s'en rapprochant, il aurait sans doute tenté de l'utiliser mais à défaut, il se contenta de le suivre au gré de ses déplacements.

Plusieurs fois l'oiseau se posait sur des caisse et autres palettes, lançant un gazouillement impatient à l'attention de l'archéologue, étant visiblement pressé que ce dernier le suive aussi rapidement que possible:

- "Oui oui c'est bon j'arrive... Pas le peine de me gueuler dessus!" soupira-t'il laconiquement

Au bout d'un moment, après avoir passé successivement devant la bibliothèque, les cellules puis la salle d'interrogatoire, il arriva enfin devant les portes de l'infirmerie. L'oiseau y pénétra rapidement et laissa le soin à James de parcourir les quelques mètres restant avant la double-porte vitrée de l'entrée.

Lorsque ce fut fait, il resta un instant interdit devant le spectacle qui s'offrait à lui. Il semblait en pleine pièce de Shakespear et il se passa la main sur le visage pour s'assurer à nouveau qu'il ne rêvait pas. Décidément il se passait très étrange au SGC depuis l'arrivée de cette fumée rose. Etranges, mais pas désagréables, loin de là...

Il parcourut du regard les personnes présentes dans la pièce, qui, mis à part Jill et la femme qu'il avait croisé en salle de contrôle quelques minutes auparavant, lui étaient toutes inconnues.

- "Bonjour..." murmura-t'il, étonné de voir pareille assemblée. "Sergent Cooper..." ajouta-t'il en reconnaissant Jill

Il jetta un regard interloqué au chariot qui se trouvait dans la salle et sur lequel trois personnes étaient ligotées avec des cables électriques et même de la mousse pour l'une d'elle, se demandant ce qu'il se passait ici. Finalement il haussa les épaules, se disant que ce n'était pas la chose la plus étonnante qu'il ait vu jusque la.

Son attention fut ensuite attirée par le mystérieux piaf bleu qui tenait à présent une rose dans son bec. Fronçant une nouvelle fois les sourcils, il se pinca pour être certain de ne pas dormir. Mais à nouveau il ne se réveilla pas une simple petite douleur répondit à son geste, lui assurant qu'il ne dormait pas.

Visiblement les personnes présentes ne semblaient pas plus que ça s'offusquer de son arrivée, même si certaines d'entre elles semblaient plutôt suspicieuse. Conscient qu'il se devait de justifier son arrivée, il tenta de le faire:

- "Heu.. J'ai suivi un oiseau bleu jusqu'ici, même si je ne sais pas trop pourquoi... Ca me semblait le truc à faire sur le moment. Quelqu'un peut-il m'expliquer ce qu'il se passe ici?" dit-il avec léger sourire

Il jetta un regard au piaf qui tenait à présent une rose dans le bec, à moins qu'il ne s'agisse d'un autre volatile. Il était plus ou moins impossible de le savoir pour l'instant, aussi se contenta-t'il de l'observer d'un air interrogateur. Les autres devaient sans doute le prendre pour un abrutit fini et qui sait, peut-être avait-il interrompu une réunion importante en prétextant suivre un oiseau. "Au moins je suis déjà à l'infirmerie au cas où", pensa-t'il avec un léger sourire.

Voir un oiseau rose était bien le signe que redoutait Laurent pour preuve de sa contamination, certes pas encore au niveau de celle de Jill qui était complètement ailleurs mais il savait qu’il risquait de finir comme elle et se croire quelqu’un d’autre.

Autant dire que la rose que la bête à plumes lui déposa, il s’en débarrassa rapidement le plus discrètement et délicatement possible afin de ne pas participer plus longtemps à cette mascarade, fallait dire aussi que le zat de Mathilde était convainquant et les paroles de cette femme à ne pas prendre à la légère.

« Mathilde de l’Argentière, je suis l’adjudant-chef Laurent Campbell, on n’est pas dans Resident Evil ou vous n'êtes pas Lara Croft donc calmez-vous avec votre arme ! »

C’était dit avec conviction pour que ça entre plus vite entre les deux oreilles de la miniature sur patte, Laurent semblait le plus gradé des personnes présentes ainsi que du nouveau participant qui venait de les rejoindre avec un oiseau bleu, bref de pire en pire cette histoire à rendre fou. La référence à celle qui combattait les momies, zombies, mutants et associés n'était pas non plus un hasard, faisant passer le message qu'ils n'avaient pas à faire à un tel danger puisque Jill la première n'en avait pas la tête de l'emploi.

Si cela venait d’une contamination de l’air, il n’y avait plus de temps à perdre pour ralentir les effets et pour ça il n’y avait pas trente six solutions quand on se retrouvait bloqué en quarantaine :

« Suzanne, il faut qu’on se procure des masques à gaz pour rester lucide, on doit pouvoir en trouver dans les armoires rouges, vas en chercher, le premier que tu trouve tu te le mets et ensuite essaies d’en trouver au moins deux autres puis reviens vite, allez dépêches-toi ! »

L’ordre était moins ferme que pour Mathilde mais le regard sérieux que le Para lançait par moment à la scientifique tout en donnant ses instructions ne laissait pas de doute sur son attente qu’elle fasse ce qui lui était demandé. A moins que d’autres n’aient déjà utilisé les masques, elle ne devrait pas mettre longtemps pour revenir avec car il y avait plus d’une armoire par étage, le SGC ne rigolant pas avec la sécurité.

« Mathilde, vous la laissez partir, c’est un ordre ! »

Si avec tout ça, Suzanne finissait avec les cheveux hérissés sur la tête, cela voudrait dire que la petite terreur était incontrôlable et sans doute à un stade de contamination plus élevé que Laurent ne l’imaginait, sans compter qu'il allait se faire appeler Arthur pas sa belle quand elle reviendrait à elle.

Le pauvre James manqua de se faire descendre promptement quand il passa la porte comme une fleur. il se retrouva avec le zat sous le nez... Et tous purent voir qu'il y avait le même autocollant que sur la lance jaffa. En tout cas le système de déverrouillage était parfaitement fonctionnel lui. Mais dans le doute peut être valait il mieux ne pas tenter la chance non?
Laurent lui avait donné un ordre sur un ton qui ne plaisait pas du tout à la Baronne et le regard qu'elle lui retourna était limpide quand à la considération qu'elle lui accordait pour le moment, quelque chose entre rien et le zéro absolu. Pour autant le nouveau venu eut la chance de voir le serpent stylisé qui dardait dangereusement sa tête vers lui se rétracter... Sans pour autant retourner dans son holster que l'on pouvait voir fixé à sa cuisse droite.

"Ne vous a t on jamais appris à frapper aux portes avant d'entrer?"

Le ton était cassant mais la question était rhétorique, la jeune femme reportant son attention sur le petit chef selon elle, à savoir Laurent. Poussant son charriot de gibier ficelé et prêt à la broche. Même s'il n'avait pas le bon plaisir de la scientifique, cette dernière devait reconnaître qu'il avançait des choses sensées. Enfin, à quelqes détails près. Après il n'était sans doute qu'un militaire pour jouer le petit chef et la jouer gros dur.

"Bon, vous semblez à peu près normal, pas comme ces deux zouaves qui se battaient avec des règles en plastique pour les beaux yeux de la belle princesse qui dort avec eux. Pour ceux qui ne me connaissent pas... - et les autres - je suis le Docteur de l'Argentière et je ne connais pas de Laura Prof. Votre idée concernant les masques est déjà un bon départ, mais mieux vaut ne courir aucun risque. Je suppose que dans cette infirmerie ils ont des combinaisons de ce même type. Et avant de me dire quelque chose réfléchissez bien au fait que ce gaz peut très bien agir au contact de la peau comme la plupart des armes chimiques modernes. Cela dit je ne connais aucun gaz qui ait cette couleur rose... Généralement on fait en sorte que cela passe pour un simple fumigène ou le produit est plus ou moins translucide. Et plutôt que de me donner un ordre ridicule - comme si j'allais tirer sur une collègue scientifique sans raison - vous devriez plutôt me demander de l'aider et de couvrir ses arrières durant sa tâche car imaginons qu'elle tombe un instant sur le Errol Flynn dans un trip Robin des Bois Prince des Voleurs... De plus je suis déjà équipée et bien mieux qu'avec un simple masque de protection. Mais c'est vous le chef, je dis ça, je dis rien, moi."

Elle détourna le regard comme si elle abdiquait devant l'autorité de Laurent, mais de façon outrageusement évidente, la physicienne donnait quelques coups de canifs.

"Pourrait on m'expliquer comment ce bazar a débuté? Car j'étais au labo 2 quand les choses ont commencé à partir en quenouille. D'abord mes assistants se mettent à parler étrangement. Le ton monte entre les deux et les voilà qu'ils se défient finalement à "l'épée" pour le coeur de leur princesse adorée, la belle aux bois dormant ici présente. Je pensais trouver un biologiste ici ou au pire le médecin de garde..."

L'interlude des petites vacheries était clos, il fallait se préoccuper du principal, ces membres du SGC qui perdaient la boule et cette brume étrange.

Invité

Cyril écoutait les explications de Jill sur la forêt enchantée, le rossignol magique, il fut tenter de demander une preuve de cette magie mais tout s'emballa...

D'abord la fille en robe qui revint avec du renfort, en criant qu'elle avait trouver un tailleur, ce qui eut pour effet de mettre Jill en transe, elle se mit à chanter, et contrairement à ce qu'elle lui avait fait écouter cela ne ressemblait pas à Snoop Dog ou les Pussycat Dolls.

Puis le ponpon, une samouraï en tenue NBC qui poussait un chariot avec des tubes à essais ligotés et portant une lance JAffa dans le dos, lance qui était trop grande pour elle. Instinctivement, Cyril mit Jill derrière lui, pour la protéger, elle semblait encore plus atteinte que Jill. Et Quand Jill lui parla de sorcière, il ne put que dire

« Ouais. J'pense comme toi princesse... C'est p'tete la sorcière elle même qu'on voit ! »

En entendant le bruit du zat qui s'enclenche, il ouvre de grand yeux, si la nippone se mettait à canarder sur tout ce qui bougeait, ils allaient le sentir passer. Cherchant un échappatoire, il ne sait que faire sauf se mettre entre Jill et Mathilde, se tournant, intimant à Jill de se taire pour le moment.

Et le zoziau rose, qui s'envole et dépose une rose dans les mains de Cyril.

« S'aps vrai.. je rêve ? » regardant Jill, il lui offre la rose en disant :

« Tenez princesse, je vous l'offre, elle sera mieux avec vous.. Puis, j'ai besoin de mes deux mains pour vous protéger ! »

Il aurait souhaité lui offrir cette fleur et bien d'autre dans d'autre conditions, mais c'est tout ce qu'il trouva à faire sur le moment.

Puis un autre gars, qui parlait d'un oiseau bleu.. Cyril se dit que ce devait être la version Mâle de piaf rose. Intrigué Cyril regarde le nouveau venu avec circonspection se demandant si lui aussi était perché, mais il appela Jill par son grade, ce qui en soit démontrait qu'il n'était pas atteint.

Le tailleur qui se révéla être un gradé donna des ordres à la samouraï et aprla de maques à gaz. Il it simplement :

« Ca sert plus à rien, si c'est aéroporté, on est tous contaminé vu le temps qu'on crapahute, discute dans les couloirs... ! En plus certains sont touchés et pas d'autres alors que nous étions ensemble... Il y a autre chose à mon avis.»

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