Jenny semblait…profiter un maximum de cette sortie imposé par Jason, ce dernier bien heureux d’avoir quitté la cafeteria sans remarques de ses collègues. Quand la jeune se retourna pour faire une remarque au militaire, ce dernier ne su pas quoi répondre.
Toi ? Me faire honte ? Non non… enfin, c’est…
Toujours devant son chef, la jeune femme continua à taquiner ce dernier. Elle marqua un point, en temps normal, Kawalsky ne reculait devant rien, lui ne savait pas quoi penser de cette retraite. Sans dire un mot, il vit Jenny se retourner et partir devant, sans attendre le vieux.
Celui-ci, mit une dizaine de seconde avant de réagir et rejoindre la demoiselle qui visiblement, n’attendait pas Jason. Le RAPAS ne savait pas quoi répondre aux remarques de Jenny et pourtant, il se concentrait là-dessus.
Eh bien… Je…Enfin… A vrai dire, ce n’est pas que tu me fais honte, non. Pourquoi voudrais-tu me faire honte ? Ma réputation au SGC est déjà bien basse donc de toute manière, ça n’aurait rien changé. Mais imagines un peu que ces imbéciles est des idées mal placés ? Dans ce cas là, c’est un peu moi qui te ridiculiserais, tu ne crois pas ?
Trouver des arguments convaincants n’avait jamais été facile pour Jason et encore moins dans ce genre de situation. Tout ce qu’il lu venait à l’esprit, il le disait sans vraiment chercher à savoir si cela avait un sens.
Certes en temps normal, je ne fuis pas… En temps normal… J’aurai presque envie de te dire que ce sont les femmes qui me font fuir mais ce serait faux, vu que je suis là et qu’on papote depuis, je ne sais pas combien de temps et je m’en fiche complètement, cette situation réduirait un argument à néant… Je ne sais pas pourquoi j’ai fuis, j’avoue que ça me pose un problème immense cette bonne remarque. Je vais y réfléchir…
En parlant de réfléchir, Jason venait de remarquer que son interlocuteur ne l’écoutait qu’à moitié ou du moins, c’est ce qu’il pensait… Jenny semblait préoccuper, perdue dans ses pensées. Jason n‘avait pas fait tout cela pour que son amie est les idées ailleurs. Sans la brusqué, prenant un air presque inquiet, le militaire lui posa une question.
Mademoiselle Andrews, excuse-moi une nouvelle fois mais… Tu sembles ailleurs, quelque chose ne va pas ?