Histoire : C'est le 28 Mai 1980, à la clinique de l'Haÿ les roses que tout débuta. A 3h26, une sage-femme porte dans ses bras un bébé qui pleure. L'homme assis dans la salle d'attente anxieux attends depuis deux heures déjà. L'infirmière lui sourit et lui pose dans les bras l'enfant, en lui demandant quel prénom ils avaient choisit lui et sa femme qui se porte à merveille.
L'homme répond simplement alors qu'une larme coule sur ses joues :
- Nour ! Cela signifie Lumière chez nous.Les années passèrent et Nour vécut entre les traditions Égyptiennes et la culture française. Elle fit des études exemplaires et se spécialisa dans l'étude linguistique de l'Arabe et l'archéologie. En fait c'est lors des vacances passées au Caire dans sa famille, qu'elle découvrira la majesté des pyramides et en tomba amoureuse. De retour elle se passionnera pour l'étude de celles-ci et de l'histoire de son pays, comprenant rapidement que celui-ci fut spolié de ses biens par les colonialistes européens.
Plus de trente ans plus tard, dans son bureau à l'institut du Monde Arabe à Paris.
Nour leva les yeux vers ses interlocuteurs. Elle les connaissaient, depuis plus de deux mois, ils insistaient pour avoir un rendez-vous avec elle. Lasse elle accepta et leur autorisa 30 minutes de son temps. Elle ne les aimaient pas, surtout ce délégué du ministre des affaires étrangères pompeux qui pensait que tous les arabes parlaient la même langue, comme si tous les européens parlaient le français.
- Que puis-je pour vous ? dit-elle agacé par le cérémonial pompeux qu'avait eu le délégué aux affaires étrangères, en lui présentant les autres personnes : deux militaires et un scientifique. C'est celui-ci qui répondit en sortant de sa mallette un document qu'il lui présenta.
- Nous aimerions que vous nous aidiez à comprendre ceci, nos linguistes en ont fait cette traduction (en présentant un autre document),
mais cela nous pose quelques problèmes. Vos connaissances de 3 langues arabes et divers dialectes nous serait précieuse.Zoé mit ses lunettes et regarde la photographie et le texte traduit. Reconnaissant ce qui semblait être un pierre issue de l'une des pyramides. La curiosité l'emporta sur l'agacement, elle sortit une loupe et s'approcha du document. Un texte était écrit sous forme de hiéroglyphe, elle dit simplement :
- Oui il y a quelques fautes de traduct... Elle s'arrêta.
Replongeant dans le texte, son visage se fit plus grave, elle ouvrit son tiroir, où elle sortit un bloc note à la couverture de cuir élimée. L'ouvrant elle recherche dans son manuscrit, ses notes afin de vérifier ses dires.
- Ce n'est pas possible, le début du texte parle de l'arrivée de Râ chez les Nagadas ! Regardant les personnes présentes, elle explique que les Nagadas étaient l'une des premières tribus peuplant l'Egypte de la période prédynastique et qu'en ce temps là, Les déités de la mythologie égyptienne n'existaient pas encore .
Voyant le scientifique sourire, elle se demande s'il ne s'agissait pas d'une blague de mauvais goût, et comprend rapidement que le problème des personnes présentent n'est pas la traduction mais bien la réalité historique qui émanait du document, et de ce que nous en savons ou croyons savoir. Elle écoute ce qu'ont à lui proposer les deux militaires ainsi que le scientifique, lui parlant à demi mot du SGC. Il ne lui fallut qu'une semaine pour se décider à rejoindre l'aventure et quitter Paris pour le SGC.
**** Test RP : ****Il faisait froid la nuit dans le désert, elle le savait mais n'avait jamais eu à le subir de cette façon. Se pelotonnant dans un coin de la prison, elle tente de se réchauffer. Elle avait eut chaud toute la journée, et là elle mourrait de froid. Elle claquait des dents sans discontinuité, elle souffla sur ses doigts qu'elle ne sentait plus. Cherchant dans sa mémoire ce qu'il s'était passée, elle n'avait pas tout comprit car tout avait été trop vite.
Quelques heures plus tôt elle et son équipe débarquait pour visiter une nouvelle pyramide, aucun signe hostiles comme l'avait dit le militaire du groupe, une balade de santé. Elle avait passée la porte avec une appréhension, comme sauter du plongeoir de 5 mètres pour la première fois. La suite, elle s'était régalée, elle avait prit des photos, une vidéo, des notes et deux des membres du groupe l'avaient laissés dans la pyramide avec un ange gardien afin qu'elle puisse prendre des échantillons. Il n'y avait aucun dangers. Les deux éclaireurs l'avait appelés par liaisons radios, l'invitant à les rejoindre. Ils avaient trouvé un village à quelques kilomètres au nord et avaient besoin d'elle pour communiquer avec les autochtones. Elle rassembla son matériel, heureuse. Et c'est en sifflotant qu'elle se rend avec son binôme vers le village. Le contact avait été amicale, les villageois parlait un dialecte de l'ancienne Basse-Egypte, seules les intonations changeaient, Nour ne mit pas longtemps à en comprendre la subtilité et pouvoir dialoguer presque normalement avec eux. Ils furent invités au repas, elle expliqua à ses équipiers qu'il ne valait mieux pas refuser la nourriture qu'on leur présentait, car ce qu'on leur présentait pouvait représenter une semaine de nourriture pour leur hôte et serait pris comme une marque de non-respect.
Ils s'endormirent au village, avec un tour de garde chacun. Elle se réveilla dans cette cellule, avec un mal de crâne carabiné ne sachant pas où elle était, et surtout où était ses camarades. Au milieu de ce qui sembla être l'après-midi pour l'archéologue, les murs se mirent à trembler, la poussière s'éleva, étouffante, s'insinuant dans ses bronches et la faisant tousser. Elle se mit à genoux, comprenant qu'une tempête de sable s'était levée. Mais aussi soudain qu'elle était apparut, elle s'arrêta.
Le lendemain matin, on vint la chercher, elle reconnut des villageois qui l'avait accueillis la veille, elle tenta de leur parler, mais ceux-ci restèrent sourd à ses supplications. Ils l'emmenèrent à la pyramide et elle put constater que la pyramide était maintenant surmontée par un engin spatial tout aussi gigantesque. Les rayons du soleil jouant avec les parois de celui-ci renvoyait des filets d'or et d'argent, si la situation avait été autre, elle se serait réjouis de contempler cette majesté. A l'entrée de la pyramide, Nour fut stupéfaite de voir deux gardes arborant des casques à figures de Dieux. Elle reconnut Anubis, le dieu à tête de chien et Horus, celui à tête de faucon. Les villageois la jetèrent sans ménagement aux pieds des gardes. Qui les congédièrent d'une voix forte. Elle fut emmener de force à l'intérieur de la pyramide, et un anneau descendit du plafond. Elle avait pourtant regarder ce plafond la veille et n'avait pas vu cet anneau de téléportation.
Quelques minutes plus tard, elle est conduite devant un trône vide. Les casques se replient et Nour voit le visage des fausses déités. Marqué d'un sceau qu'elle reconnaît. La marque du serpent. Alors qu'elle les regarde, ils s'agenouillent devant celui qui vient d'entrer. Tournant la tête vers lui, elle se relève doucement alors qu'il s'avance en parlant dans une langue qu'elle connait. Baissant la tête, elle réponds doucement dans la même langue, ce qui a pour effet de déstabiliser le Dieu vivant et c'est surement ce qui lui sauvera la vie contrairement à ses camarades.
Quelques mois plus tard, alors qu'Apophis reçoit des invités de marque, il frappe dans ses mains, et des danseuses apparaissent et commencent à faire une danse du ventre.
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Sujet: Nour Lahoum 
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